Richard Amalvy | management
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Le 7 juin dernier, le conseil de prud’hommes de Paris a lourdement condamné la Société générale pour le licenciement « sans cause réelle ni sérieuse » de Jérôme Kerviel. Nous cherchons à comprendre les mécanismes mis en place par ses superviseurs pour le faire performer de manière démesurée.
Ma principale audience, ce sont les dirigeants audacieux, ceux qui sont encore plus motivés quand on leur dit : "c'est impossible" ; "nous avons déjà essayé". L’innovation, matrice du développement et de la croissance, ne va pas sans risque, ils le savent, et la décision, attribut majeur du dirigeant, est l’acte le plus risqué qui soit dans ces cas-là.
Quand on discute entre consultants, on se rend compte que la cause des causes dans la plupart des problèmes que les opérationnels et dirigeants appellent « dysfonctionnements » s'appelle manque de confiance et de coopération dans les organisations. À l’origine de ces problèmes se loge une véritable question de comportement personnel et organisationnel : la connerie. Loin d’être trivial, cet article nous dit que l’on peut se prémunir de la connerie si l’on accepte d’interroger son savoir-être. Un véritable enjeu managérial.
Dans une période où la question de la compétitivité est majeure, combattre l’inaction est un impératif stratégique, car même si les coûts financiers et humains directs sont incalculables, les coûts de résolution des problèmes générés peuvent atteindre des sommets.